Ultraman – SuperNes



Ultraman : Un héros presque complètement inconnu en France

La série Ultraman a été diffusée seulement partiellement sur M6 et le Club Dorothée avant d’être retirée. C’est très simple : un super méchant arrive dans une armure en carton, il est super énervé, il veut détruire la Terre, Ultraman arrive, le frappe avec son rayon laser, et après tout le monde chante sur une musique japonaise devant le coucher du soleil, et c’est ça qui est beau. De plus, la série est plus ou moins à l’origine des variations qui donnent les « Super Sentai » comme Bioman ou X-Or. Ultraman, lui, est resté très populaire au Japon, puisque la série a été créée en 1966 et qu’elle continue encore aujourd’hui à faire des suites et des jeux vidéo.

Le jeu Super NES

Le jeu Super NES est sorti en 1991. Ce jeu a été considéré comme tellement pourri qu’il a été tué dans tous les magazines à sa sortie. Voyons si il mérite sa réputation ! Trois niveaux de difficulté qui correspondent en fait à trois niveaux de sadisme, je reviendrai là-dessus plus tard. Et hey, au fait, première chose. Pour afficher le menu des options, qui est caché, il faut appuyer sur « start » et « select » ensemble. Pourquoi ? Mais pourquoi ? Pourquoi il faut faire une combinaison bizarre pour afficher une chose aussi simple que les options ? C’est trop dur de mettre « Options », tout simplement ?

Le jeu “Ultraman”

Bon, alors, c’est ça le jeu « Ultraman » ! Trois boutons uniques ! Rien de plus ! Ce jeu est nul ! Ce jeu ne mérite même pas le nom de « jeu » ! La base des jeux de combat, c’est quand même des combinaisons de coups. Là, il n’y a rien ! Il y a trois boutons, c’est tout ! Là, franchement, ça a été codé par des gens qui s’en foutaient ! Le bouton pour le poing est virtuellement jamais utilisé parce que sa portée est trop petite. Donc, la seule solution, c’est de se déplacer en donnant des coups de pied. Là. Absolument génial. Et là, c’est bon pour le Moulin Rouge. Non, mais je suis encore mauvais langage, il y a d’autres coups. Il y a un uppercut que euh… En fait, je n’ai aucune idée de sa utilité, puisqu’il a une portée encore plus faible que le poing. Et il y a un coup de pied arrière.

Conclusion

Bon, c’est fini. Pourquoi, oh… Merde mais c’est buggé ou quoi ? Bon, attendez, on va essayer des combinaisons de boutons… Non… Non… Non… Mais attendez, je dois faire une combinaison Mortal Kombat comme, ou quoi ? Merde mais ça meurt ! Mais quel est le plan ici ? Non, mais attendez, ça récupère de la vie ! Oh non mais sans blague ! En fait, vous voyez, le truc en bas, c’est le système laser. Il y a quatre niveaux de puissance qu’on contrôle avec L1 et R1. Il faut utiliser le quatrième niveau sur le boss quand il est en « Finish ». Votre barre de puissance monte toute seule. Donc, si vous l’utilisez juste, la meilleure chose à faire, bah… c’est de prendre la fuite. C’est quand même tendu : le gars est tellement rigide quand il frappe, on dirait qu’il a avalé un lampadaire, et quand il faut prendre la fuite, on dirait un acrobate chinois ! Voilà. Boss tué, prochaine étape. Bien. Vous vous souvenez au début, j’ai parlé de trois niveaux de difficulté. Donc pour faire une mélasse, c’était un pote normalement à Street Fighter, qui joue comme ça : « Hadouken ! Hadouken ! Hadouken ! » (Seb) Juste comme toi, en fait ! (Fred) Bah en fait, c’est pareil. Le niveau de difficulté, c’est juste pour définir le degré d’idiotie de spam de rayon laser et franchement, là, c’est… Franchement… c’est… Je peux même pas le dire ! Je peux même pas m’approcher ! Mais laissez-moi jouer, enfin ! Toute la zone devant lui, c’est la MORT. Dès que tu t’approches, le script fait automatiquement un laser. Et même si tu es le claqué des réflexes, tu te prends quand même un coup deux fois sur trois ! Et en plus, c’est pas la peine d’essayer d’attaquer l’ennemi par le haut ! Dès que tu touches l’ennemi en corps à corps, tu prends un coup ! Comme ça, sans rien faire ! Il n’y a aucune raison ! Comme ça ! Il suffit juste d’être à côté de lui pour prendre un coup, même si ça ne touche pas ! Regardez, je peux même pas placer une attaque, je peux même pas le toucher ! Je peux même pas m’approcher de lui ! Allez ! Franchement, il y a des jeux faits par des nullards, des incompétents et des clowns, là, ce jeu combine les trois, c’est impossible ! Ça fait seulement dix minutes que je joue et c’est dix minutes de ma vie qui partent en fumée ! J’en ai assez ! C’EST BON ! Vous connaissez la loi de la série ? La loi de la douleur maximale au cul ? Si tu pensais que quelque chose ne pouvait pas être pire, bah oui, ça peut TOUJOURS être pire ! « Rise of the Robot », un jeu sorti en 1994, un jeu très attendu parce que les screenshots font saliver tout le monde ! Et aussi parce que la musique du jeu a été composée par Brian May, le guitariste de Queen. Le jeu, entre-temps, a été diffusé sur la plupart des plates-formes de l’époque. Bon, donc, pour l’époque, ça a été beau, les cutscenes étaient plutôt cool. Mais c’est là que les choses se compliquent. Parce que le jeu est mauvais. Mais mauvais ! Mais à ce point-là, mais c’est un scandale ! Ce jeu a été sorti deux ans après « Street Fighter », mais en termes de commandes, on remonte à quinze ans en arrière ! La Mega Drive est, comme d’habitude, la version moins gâtée. Les trois boutons A, B et C sont utilisés pour taper plus ou moins fort. Et pour passer des coups de pied aux poings, il faut appuyer sur « start » ! On doit appuyer en plein milieu du combat sur « start » pour changer de coups ! « Start », c’est le bouton de PAUSE ! Puisqu’il y a un « start » sur les manettes, c’est toujours été le PAUSE ! Alors pourquoi ils font ça ? C’est totalement illogique ! En plus, du coup, il n’y a pas de

Vidéo : Durée | Date 2010-09-20 16:37:56 | source

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